Une Antigone à Kandahar, a été salué par The Wall Street Journal comme étant « le premier grand roman sur la guerre en Afghanistan ». Le prix Nobel J.M. Coetzee l’a décrit ainsi : « Sous nos yeux, la résistance d’une garnison américaine isolée est vaincue non par la force des armes, mais par la volonté d’une femme désarmée se raccrochant obstinément à son idée de ce qui est juste et bien. »
Joydeep Roy-Bhattacharya lira des d’extraits et s’entretiendra avec la romancière et journaliste au Monde, Florence Noiville : au cœur de la discussion, la transposition de l’Antigone de Sophocle dans le désert afghan, le pouvoir de la mythologie, le problème de l’identité et la grâce de la compréhension.
Joydeep Roy-Bhattacharya, Une Antigone à Kandahar, trad. de l’anglais (Inde) par Antoine Bargel, Gallimard, 2015.