« Bruns ou châtains feraient l’affaire. Ta blondeur n’existe pas,
c’est moi qui l’ai inventée pour la refléter dans le Tibre,
C’est moi qui l’ai inventée pour que les choses aient un reflet,
c’est moi qui l’ai inventée pour dire que le Tibre est blond. »
Avec cette nouvelle édition enrichie de textes critiques inédits, Cécile Mainardi, poète et performeuse, nous entraîne en Italie, dans une quête amoureuse de la blondeur dans toutes ses formes. Avec ce soir pour partenaire de lecture Stéphane Bouquet.
À lire –
Cécile Mainardi, La Blondeur suivi de Extensions critiques, éditions Les Petits matins, 2021.