Raphaël O’Byrne, Ce dont on ne peut parler, c’est cela qu’il faut dire ·  Raphaël O’Byrne, Ce dont on ne peut parler, c’est cela qu’il faut dire · 
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mercredi 19 février 2014

Raphaël O’Byrne, Ce dont on ne peut parler, c’est cela qu’il faut dire

Valère Novarina connu pour son théâtre hors du commun n’écrit pas comme tout un chacun. Ses textes emportent tout sur leurs passages à commencer par ses acteurs métamorphosés au point qu’on les croit animaux ou pantins comme l’atteste Léopold von Verschuer. Cette opération systématique de défiguration, Valère Novarina la retrouve dans l’oeuvre du peintre Autrichien Arnulf Rainer. Des rives du Danube il se rend en Russie pour découvrir les icônes de la cathédrale Sainte Sophie de Novgorod en compagnie de la philosophe Marie-José Mondzain, avant de retrouver le physicien Étienne Klein autour d’un caillou. La langue de Novarina à ceci en commun avec la voix de la chanteuse Léiélé Fischer qu’elle transforme le temps en moment de grande émotion.
Rythmé par la langue de Valère Novarina, construit autour des répétitions de l’Origine rouge, ce film de Raphaël O’Byrne nous propose une traversée unique.

À lire

À regarder – Ce dont on ne peut parler, c’est cela qu’il faut dire, (65’) Raphaël O’Byrne, coproduction Arte France, Les Films à Lou, 2002.