Dans le sillage du météore désinvolte d’après Lettres de Guerre de Jacques Vaché ·  Dans le sillage du météore désinvolte d’après Lettres de Guerre de Jacques Vaché · 
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samedi 17 mai 2014

Dans le sillage du météore désinvolte d’après Lettres de Guerre de Jacques Vaché

Pièce pour deux voix, grondements, souffles et fusées éclairantes.

« Jaques Vaché est au front en poète absolu. Il est un jeune homme mobilisé, mais furieusement libre, doté d’un courage dénué de toute boursouflure patriotique ou héroïque. La poésie est une force de la nature, il en est une incarnation phénomène. Il ne poétise pas la guerre, il est la poésie dans la guerre, il l’emporte avec lui et tient tête à l’absurde boucherie. »  (Ph. Pigeard).

Philippe Pigeard présente une évocation de la voix unique de Jacques Vaché « de passage rapide sur le ciel de guerre ». Mobilisé à 20 ans en 1914, ce dernier succombe à une surdose d’opium en 1919. En contrepoint aux lettres dites de guerre, on reconnaîtra d’autres voix d’écrivains embarqués dans la Grande Guerre : Joë Bousquet, Ernst Jünger…

 

Création réalisée dans le cadre de la résidence de Philippe Pigeard à la Maison de la Poésie avec la Région Île-de-France.

À lire

Jacques Vaché, Lettres de guerre, Mille et une nuits, 2001.