« Nous avons fait la connaissance à Rome d’un monsieur qui organise des séances d’occultisme. Nous lui avons proposé de mettre en place des séances d’un genre un peu spécial, jamais réalisées auparavant : des dîners de spiritisme. Il a accepté. Alors, nous nous sommes mis à préparer des repas pour les fantômes et à réfléchir : qu’est-ce que les fantômes peuvent bien aimer manger ? Qu’est-ce qu’il ne faut surtout pas leur proposer ? Et d’ailleurs, les fantômes peuvent-ils seulement apprécier un repas ? »
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À lire –
Ryoko Sekiguchi, Le Club des Gourmets et autres cuisines japonaises, P.O.L, 2013. En savoir + – revuenumerozero.squarespace.com